Quand?
L’ASBL Betsaleel existe officiellement depuis 2016 et officieusement depuis 2012.
Pourquoi?
L’ASBL a été créée par Alexandre Gibon suite à son voyage à Léo, Burkina Faso (2011-2012) durant lequel il a eu l’occasion de dispenser des cours à des élèves de 5e primaire.
Maxime De Smedt, également convaincu qu’une éducation de qualité est à la base de tout développement sociétal positif, a co-fondé l’ASBL en 2016.
En 2017, Noémie Jacques, déjà active dans l’organisation, a rejoint officiellement l’ASBL.
Tout comme Nelson Mandela, nous sommes convaincus que ‘L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde’. Un enseignement de qualité, critique et accessible est un vecteur essentiel pour toute une série de problématiques majeures telles que la pauvreté, les inégalités hommes-femmes, le réchauffement climatique ou encore le racisme.
Betsaleel est le nom de l’école secondaire et a été choisi par Madeleine et Jean-Noël, tous deux fondateurs du collège. Il s’agit d’un personnage biblique (l’architecte en chef du tabernacle).
Comment?
D’une part, l’ASBL Betsaleel aide directement les élèves du collège à poursuivre leur cursus scolaire en finançant leurs frais de scolarité.
D’autre part, Betsaleel s’implique localement via des partenariats, tel que celui qui a vu le jour au cours de l’été 2018 avec l’organisme Edukado. Ce partenariat a permis la construction de deux grandes classes et d’un local administratif en plus de latrines.
Sur place, l’ASBL peut compter sur des partenaires locaux qui, outre la gestion des classes du collège Betsaleel, mettent en place divers projets de sensibilisation (SIDA, bienfaits de l’éducation, etc.).
Nous œuvrons dans le but de répondre au manque d’infrastructures d’enseignement dans un pays qui connaît un boom démographique et qui souffre de la pauvreté.
N.B. Bien que privées (et donc le coût de l’inscription plus élevé que dans le secteur public), les écoles Betsaleel ne sont pas élitistes. En effet, le pays, la ville de Léo et plus particulièrement le secteur dans lequel est construit les écoles manque cruellement d’écoles. Environ la moitié de la population burkinabè a moins de 15 ans et chaque année il faut scolariser plus d’élèves que l’année précédente. Les écoles Betsaleel viennent donc à point nommé pour certaines familles de la ville.
Qui?
L’ASBL est composé de quatre membres (2025) dont deux en Belgique (Alexandre et Claire) et deux au Burkina Faso (Jean-Noël et Madeleine).